CRÉATEUR DE PROXIMITÉ DIGITALE, FORMER,TRANSFORMER, RAPPROCHER

« Depuis que Maxence est né, on a fait le choix de ne pas l’appareiller avec une prothèse médicalisée. Là, il va avoir une main colorée aux couleurs de son choix, de super-héros (avec un grand « M » dessus pour « superMax », ndlr), qu’il pourra enlever à sa guise. Ce sera ludique pour lui dans la cour de récré avec les copains », poursuit Virginie Contegal. Pour plus de détails, regardez la vidéo en haut de cet article.

Grâce à la technologie d’impression en 3D, ce type de prothèse ne coûte que 50 à 200 euros, selon la taille de la main. Si l’enfant la casse ou la perd, elle est donc facile à remplacer. Les parents de Maxence n’ont eux rien déboursé puisque qu’ils sont passés par l’association américaine e-NABLE, qui a déjà permis à de nombreux enfants de bénéficier de cette technologie dans les pays anglosaxons.

« Depuis 2013, nous avons livré environ 2000 mains dans 37 pays, surtout pour des enfants, mais aussi pour des adultes amputés dans des pays en voie de développement », explique Jon Schull, créateur d’e-NABLE cité par Le Parisien, qui précise que Google a remis à l’association « un prix de 600 000 $ (540 000 €) l’an dernier pour ‘féliciter cette mission' ».

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Source : http://www.huffingtonpost.fr/2015/08/17/prothese-3d-enfant-france_n_7996738.html?utm_hp_ref=sante

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